«L’apparence du mur renseigne sur sa constitution » et sa surface est une petite matrice qui donne au paysage urbain un modèle de perception. De cette manière, il est possible d’envisager la notion du paysage comme « une empreinte, car il exprime une civilisation; mais c’est aussi une matrice, car il participe des schèmes de perception, de conception et d’action — c’est-à-dire de la culture » (Brassaï, 1934)